Optimisez plus que les soft skills
Le travail que je propose en entreprise a pour objectif d’apporter des solutions rapides, simples à appliquer, mesurables, atteignables et économiquement justifiées.
Les techniques mises en avant ici ont pour objectifs d’apporter des solutions à un problème ; sachant que les solutions à apporter dépendent de chacun et du contexte dans lequel elles sont appliquées. A cette fin, il est primordial d’identifier les personnalités individuelles afin de créer une relation de confiance et d’ouverture propre au changement et donc à un résultat positif partagé par tous. En effet, ne sommes-nous pas plus efficaces lorsque nous nous sentons bien avec nous-même, acceptés par nos collègues et en sécurité sur notre lieu de travail ?
Certains managers réalisent parfois sur le terrain qu’il est contreproductif de communiquer essentiellement avec des visuels sans porter attention à ce qui est dit ; tant dans le verbal que dans le para verbal et le non verbal. De même, le fait de jouer avec les émotions à travers les messages contraignants a potentiellement pour résultat de conduire parfois, mais surement, à un bore-out ; voir à un burn-out.
Prenons un premier exemple individuel. Vous travaillez au quotidien avec une personne qui est toujours pressée. Elle veut finir avant même d’avoir commencé car la rapidité est pour elle une preuve de sa compétence et indirectement de sa confiance en elle. La qualité du travail rendu est secondaire à ses yeux tant qu’elle délivre avant l’heure le travail demandé. Au-delà de générer des erreurs et d’avoir à potentiellement reprendre le travail présenté, il est possible que cette pression qu’elle s’impose déborde sur les personnes qu’elle côtoie ; tant professionnellement que personnellement. Il est probable aussi que la quantité de travail réalisé l’empêche de prioriser certaines tâches ; ce qui facilite la perte de contrôle et les moments de panique. En fait, cette personne à besoin pour se sentir appréciée, reconnue et en partie aimée, de se dépêcher. La réponse à lui apporter est en partie de lui donner des méthodologies et des outils lui facilitant la gestion du temps selon son propre rythme. Par exemple, la méthode Pomodoro ou la matrice d’Eisenhower peuvent être de bonnes réponses au début ; mais seront insuffisantes si les selfs ne sont pas également renforcées. Et c’est là que j'interviens en favorisant l'autogestion afin de mieux gérer les comportements, les pensées et les émotions d'une manière consciente et productive.
Prenons un second exemple collectif. Une équipe de développeurs informatique qui travail en mode Agile doit livrer une release. Or, il s’avère que les délais sont dépassés, la qualité attendue est loin d’être là, que certaines personnes qui étaient présentes au début du projet soient parties, et que le Product Owner ne se sent pas écouté par le Sponsor. Ici, la priorité n’est ni de faciliter le changement à travers des outils de recadrage, ni d’améliorer l’implication collective et individuelle ou encore d'encourager l’émergence de solutions lors de cette phase de mise en œuvre. La priorité est ici d’accepter que la communication soit au point mort. A partir de là, à la fois l’équipe seule, le PO et le Sponsor, vont devoir identifier les éléments de blocages – en entrée et en sortie – et proposer des solutions puis ils devront partager leurs résultats. A cette fin, et même lors des phases de clarifications, un "externe" est nécessaire pour fluidifier les échanges tout en dynamisant l’esprit d’équipe. C’est là aussi que j'interviens en favorisant l’expression et le dépassement des points bloquants.
Prenons un dernier exemple. Votre équipe commerciale a de plus en plus de difficulté à atteindre les objectifs fixés. Pourtant, elle est toujours en finale ; mais ce sont vos concurrents qui bouclent les contrats. Vous savez que vos produits sont en phase avec les attentes de vos clients ; que cela soit au niveau du prix ou de la qualité. Mais savez-vous si chacun des commerciaux en est conscient? Savent-ils tirer profit de la communication non verbale et para verbale ? Réalisent-ils des ratifications pour montrer aux prospects qu’ils sont compris ? Utilisent-ils des no-sets pour fixer des limites aux demandes sans froisser ? Exploitent-ils des yes-sets pour créer des liens de confiance afin de signer ?
Si pour vous, la réponse au fait que la connaissance de techniques éprouvées est tout aussi importante que 25 années d’expérience, si pour vous il est également vrai que la solution que vous attendez doit être orientées résultats et, s’il est encore vrai que vous demandez une mise en œuvre et un suivi optimal, alors contactez moi au ..... où écrivez à ....... Au plaisir de vous rencontrer Paul-Arnaud PY |